Gisèle Sedia est titulaire d’un DEA de sociologie depuis 2001, conseillère en insertion professionnelle et titulaire d’un certificat de prévention des conflits électoraux, Gisèle Sedia a été associée pendant 18 ans à différents programmes de recherche de l’IRD, de l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest, du Centre suisse de recherche scientifi que en Côte d’Ivoire, du Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP-INADES).
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Consommation
Articles
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L’Attiéké-Garba, « bon » à manger et à penser.
22 décembre 2017, par Roxane -
Manger dehors à Mexico et Guadalajara : la tension entre les dimensions de santé et de patrimonialisation.
22 décembre 2017, par RoxaneLiliana Martinez Lomeli est doctorante du Centre Edgar Morin à l’École des hautes études en sciences sociales, sous la direction de Claude Fischler. Sa thèse porte sur le fait de manger dehors dans deux villes mexicaines (Guadalajara et Mexico) concernant des dimensions de sociabilité, santé, patrimonialisation et convivialité. Elle a fait un Master de sociologie dans le cadre du projet ANR-ALIMI avec un mémoire sur la commensalité des personnes issues de la migration malienne en France.
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Transformations sociétales et grandes tendances alimentaires
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYAlors que les réflexions prospectives sur les tendances alimentaires sont nombreuses et variées, rares sont les travaux de vulgarisation présentant les évolutions sociétales, plus larges, à l’origine de ces tendances. Le raisonnement est donc souvent incomplet : les changements des conduites alimentaires sont assez bien anticipés et décrits, mais sans être vraiment expliqués, ni référés à des mutations de la société permettant d’en saisir l’origine, l’ampleur et le sens. L’objectif de ce Document de travail est d’aider à combler ce manque, en analysant six grands moteurs sociétaux qui rendent compte de certaines des transformations du système alimentaire. Ces moteurs sont présentés sous la forme de fiches proposant en quelques pages une synthèse des principales connaissances disponibles. Sont tour à tour abordés l’individualisation croissante des rapports humains, la segmentation communautaire et réticulaire du système social, les nouveaux rapports au temps et l’accélération des rythmes de vie, la féminisation de la société, la sensibilité grandissante aux questions de santé et de bien-être, et enfin l’affirmation de nouvelles représentations de la nature.
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Peruvian cuisine’s slippery road to UNESCO (Raul Matta)
24 mai 2017, par ClarisseAn increasing number of strategies of cultural preservation acknowledge local particularities by including them in political and economic programmes. Recent research has demonstrated how governmental and private institutions work to stabilise, promote and manage the particularities of ’national’ foods and cuisines and the image of the countries themselves (Caldwell 2002 ; Karaosmanoglu 2007 ; Hiroko 2008 ; DeSoucey 2010). Food heritage emerges in this context...
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Food choices at the intersections of race, class and gender struggles in post-apartheid South Africa.
22 décembre 2017, par RoxaneYanga Zembe is an associate professor in the Institute for Social Development, at the University of the Western Cape. She is a behavioural social scientist, whose research explores the role of structural factors such as gender and economic inequalities in the production of social and sexual behaviours that lead to negative health outcomes.
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Gwenaëlle Didou
15 septembre 2021, par Mathilde COUDRAYL’association En Chantier : la co-construction d’espaces autour de l’alimentation dans une dynamique inclusive et participative. L’alimentation est un réel marqueur des inégalités sociales en France, elle constitue généralement la première variable d’ajustement du budget des familles précaires. Aujourd’hui, le modèle privilégié de lutte contre la précarité alimentaire repose sur des dispositifs d’aide alimentaire. Certes nécessaire en cas d’urgence, ce modèle distributif connaît certaines limites .
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Quelles innovations et alternatives existantes ?
31 janvier 2014, par ClarisseLydia Zepeda - Benjamin Devaux - Noémie Recouvreur - David Erhart - Brian Horihan - Agir sur la consommation alimentaire des ménages est identifié comme un levier majeur pour réduire l’impact de nos systèmes alimentaires sur l’environnement et améliorer la santé des populations. Comment accompagner des changements de pratique vertueux ? Quelle acceptabilité par les consommateurs ?
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Ultra-processed products are becoming dominant in the global food system
26 octobre 2021, par Mathilde COUDRAYThe relationship between the global food system and the worldwide rapid increase of obesity and related diseases is not yet well understood. A reason is that the full impact of industrialized food processing on dietary patterns, including the environments of eating and drinking, remains overlooked and underestimated. Many forms of food processing are beneficial. But what is identified and defined here as ultra-processing, a type of process that has become increasingly dominant, at first in high-income countries, and now in middle-income countries, creates attractive, hyper-palatable, cheap, ready-to-consume food products that are characteristically energy-dense, fatty, sugary or salty and generally obesogenic. In this study, the scale of change in purchase and sales of ultra-processed products is examined and the context and implications are discussed. Data come from 79 high- and middle-income countries, with special attention to Canada and Brazil. Results show that ultra-processed products dominate the food supplies of high-income countries, and that their consumption is now rapidly increasing in middle-income countries. It is proposed here that the main driving force now shaping the global food system is transnational food manufacturing, retailing and fast food service corporations whose businesses are based on very profitable, heavily promoted ultra-processed products, many in snack form.
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Le consomm’acteur, moteur du changement ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù les individus, convaincus de faire leur part grâce au pouvoir dont ils disposent à travers leurs actes d’achat, comprennent les limites de leur responsabilité dans la transition vers des systèmes alimentaires durables. Ils découvrent que leurs comportements de consommation sont malgré tout contraints par un environnement matériel, social et politique et ne peuvent constituer les seuls moteurs du changement.
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Fortifier les aliments pour lutter contre les carences ?
3 novembre 2021, par Mathilde COUDRAYOù l’on apprend que la lutte contre les carences en micronutriments passe notamment par la diversification des régimes alimentaires ; une bonne manière de soutenir la diversité des productions. Pourtant, ce sont des solutions techniques comme la supplémentation ou la (bio)fortification, jugées plus innovantes, qui prédominent encore dans les politiques nutritionnelles pour répondre aux enjeux de malnutrition.
Rubriques
- L’alimentation pour se relier à soi
- 2021 / Être ensemble - L’alimentation comme lien social
- Fortifier les aliments pour lutter contre les carences ?
- Vous reprendrez bien un peu de protéines ?
- Réinvestir la cuisine et le “fait-maison” ?
- Le consomm’acteur, moteur du changement ?
- L’alimentation pour se relier aux autres
- 2017/ Se nourrir de plaisirs
- Séminaire 2017
- Séminaire 2015